V i o l e n c e   c o n j u g a l e

Comment se définit-elle ?

La violence conjugale est un comportement constitué de propos, de gestes et d’attitudes qu’un partenaire adopte dans le but de dominer l’autre ou de lui retirer des gains ou des privilèges. Qu’elle survienne dans un couple, dans une fréquentation ou entre ex-conjoints, la violence survient dans le cadre d’un cycle où la victime peut ressentir de la peur, de l’espoir, de la colère, de la culpabilité et de l’anxiété.

Insidieuse, subtile et progressive, la violence conjugale est souvent bien plus complexe qu’elle ne le paraît et est difficile à identifier quand on la vit. Quelle que soit sa forme, la violence conjugale est toujours inacceptable et elle a des conséquences à court et à long terme sur la personne qui en est victime et sur ses enfants.

La violence conjugale ne fait pas de discrimination : peu importe l’âge, l’éducation, la situation sociale, l’orientation sexuelle ou l’origine d’une personne, elle peut toucher n’importe qui.

Souffrance | Violence conjugale | Femme | Enfant | Aide

Cinq formes de violence

Violence psychologique

La plus subtile

Difficile à détecter et à identifier, elle est toutefois présente dans toutes les relations où règne la violence. Puisque la violence psychologique commence souvent par des commentaires qui ne semblent pas si graves, la personne qui en est victime se demande si elle a raison de se questionner sur l’attitude de l’agresseur.

  • Dévaloriser l’autre par des attitudes ou des propos méprisants.
  • Espionner ou harceler sur les réseaux sociaux.
  • Faire du chantage ou des menaces implicites ou explicites.
  • Isoler l’autre, contrôler ses sorties et ses fréquentations sociales.
  • Lancer ou frapper des objets.
  • Ignorer l’autre.

Violence verbale

La plus banalisée

Si la violence verbale se montre sous plusieurs formes, elle est toujours reconnue par la victime. Ce sont souvent des éléments subtils comme le ton de voix ou les mots choisis qui marquent l’intention de violence ou de menace. Souvent pour éviter que les menaces directes ou indirectes soient mises à exécution ou que le climat ne se détériore, la victime marche alors sur des œufs.

  • Insulter, dégrader ou humilier de manière directe ou indirecte ou être sarcastique.
  • Faire peser de lourds silences menaçants.
  • Crier, hurler ou grogner.
  • Intimer des ordres brutalement.
En savoir plus

Violence sexuelle

La plus taboue

Il s’agit d’une forme de violence difficile à nommer pour les victimes, puisque la sexualité fait référence à l’intimité du couple et est parfois encore considérée comme un « devoir conjugal ». Or, obliger quelqu’un à avoir des rapports sexuels ou à commettre des actes sexuels sans consentement, c’est une agression sexuelle, même au sein d’un couple.

  • Faire des attouchements ou des actes sexuels sans consentement.
  • Imposer des actes dégradants ou des pratiques sexuelles.
  • Filmer, photographier ou publier des images sexuelles ou de nudité sans le consentement.
  • Harceler, intimider, manipuler ou faire preuve de brutalité en vue d’avoir une relation sexuelle
  • Dénigrer l’autre sexuellement.
  • Forcer l’autre à avoir un enfant ou à se faire avorter.

Qu’est-ce que le consentement ?

Une relation sexuelle consentante se caractérise par ces trois conditions :

Liberté : Sans contrainte, sans menace, sans crainte et sans peur de jugement ou de conséquences.

Décision éclairée : En toute connaissance de cause et avec lucidité sans l’influence d’alcool ou de drogues.

Enthousiasme : L’envie mutuelle est clairement communiquée. Le silence ne veut pas dire « oui » !

Violence physique

La plus médiatisée

Dès qu’il y a domination physique, même sans coups, on est en situation de violence physique. L’agresseur l’utilise lorsque ses autres techniques de contrôle ne fonctionnent plus. Les femmes nous disent souvent que la première fois que leur conjoint a été violent physiquement, elles ne doutaient plus : elles étaient certaines qu’il était violent. Il s’agit de la forme de violence la plus connue, mais il n’est pas nécessaire qu’une personne soit victime de violence physique pour qu’elle demande de l’aide aux ressources de soutien ou à la police.

  • Exercer une contrainte physique, comme bloquer le chemin ou retenir l’autre.
  • Brûler, mordre, griffer, bousculer, donner des coups, gifler, serrer le bras, empêcher de respirer, etc.
  • La victime peut avoir tendance à déguiser ses blessures en accidents.
  • Le meurtre conjugal est l’ultime forme de violence physique.

Violence économique

La plus méconnue

La violence économique se rapporte au contrôle de l’argent. C’est le fait d’entraver l’autonomie financière d’une autre personne, et ce, par toutes sortes de moyens. Cette forme de violence réduit l’autonomie de la victime et lui donne l’impression qu’elle se retrouverait sans ressource pour vivre si elle quittait son conjoint. Priver quelqu’un d’argent, de travail ou l’empêcher d’avoir accès à l’éducation, c’est de la violence économique.

  • Empêcher l’autre d’occuper un emploi ou d’étudier.
  • Contrôler les ressources financières et matérielles de l’autre (budget, obliger à rendre des comptes, saisir les revenus, les documents d’identité, etc.).
  • Forcer l’autre à s’endetter.

Violence psychologique

Violence psychologique

La plus subtile

Difficile à détecter et à identifier, elle est toutefois présente dans toutes les relations où règne la violence. Puisque la violence psychologique commence souvent par des commentaires qui ne semblent pas si graves, la personne qui en est victime se demande si elle a raison de se questionner sur l’attitude de l’agresseur.

  • Dévaloriser l’autre par des attitudes ou des propos méprisants.
  • Espionner ou harceler sur les réseaux sociaux.
  • Faire du chantage ou des menaces implicites ou explicites.
  • Isoler l’autre, contrôler ses sorties et ses fréquentations sociales.
  • Lancer ou frapper des objets.
  • Ignorer l’autre.

Violence verbale

Violence verbale

La plus banalisée

Si la violence verbale se montre sous plusieurs formes, elle est toujours reconnue par la victime. Ce sont souvent des éléments subtils comme le ton de voix ou les mots choisis qui marquent l’intention de violence ou de menace. Souvent pour éviter que les menaces directes ou indirectes soient mises à exécution ou que le climat ne se détériore, la victime marche alors sur des œufs.

  • Insulter, dégrader ou humilier de manière directe ou indirecte ou être sarcastique.
  • Faire peser de lourds silences menaçants.
  • Crier, hurler ou grogner.
  • Intimer des ordres brutalement.

En savoir plus

Violence sexuelle

Violence sexuelle

La plus taboue

Il s’agit d’une forme de violence difficile à nommer pour les victimes, puisque la sexualité fait référence à l’intimité du couple et est parfois encore considérée comme un « devoir conjugal ». Or, obliger quelqu’un à avoir des rapports sexuels ou à commettre des actes sexuels sans consentement, c’est une agression sexuelle, même au sein d’un couple.

  • Faire des attouchements ou des actes sexuels sans consentement.
  • Imposer des actes dégradants ou des pratiques sexuelles.
  • Filmer, photographier ou publier des images sexuelles ou de nudité sans le consentement.
  • Harceler, intimider, manipuler ou faire preuve de brutalité en vue d’avoir une relation sexuelle
  • Dénigrer l’autre sexuellement.
  • Forcer l’autre à avoir un enfant ou à se faire avorter.

Qu’est-ce que le consentement ?

Une relation sexuelle consentante se caractérise par ces trois conditions :

Liberté : Sans contrainte, sans menace, sans crainte et sans peur de jugement ou de conséquences.

Décision éclairée : En toute connaissance de cause et avec lucidité sans l’influence d’alcool ou de drogues.

Enthousiasme : L’envie mutuelle est clairement communiquée. Le silence ne veut pas dire « oui » !

Violence physique

Violence physique

La plus médiatisée

Dès qu’il y a domination physique, même sans coups, on est en situation de violence physique. L’agresseur l’utilise lorsque ses autres techniques de contrôle ne fonctionnent plus. Les femmes nous disent souvent que la première fois que leur conjoint a été violent physiquement, elles ne doutaient plus : elles étaient certaines qu’il était violent. Il s’agit de la forme de violence la plus connue, mais il n’est pas nécessaire qu’une personne soit victime de violence physique pour qu’elle demande de l’aide aux ressources de soutien ou à la police.

  • Exercer une contrainte physique, comme bloquer le chemin ou retenir l’autre.
  • Brûler, mordre, griffer, bousculer, donner des coups, gifler, serrer le bras, empêcher de respirer, etc.
  • La victime peut avoir tendance à déguiser ses blessures en accidents.
  • Le meurtre conjugal est l’ultime forme de violence physique.

Violence économique

Violence économique

La plus méconnue

La violence économique se rapporte au contrôle de l’argent. C’est le fait d’entraver l’autonomie financière d’une autre personne, et ce, par toutes sortes de moyens. Cette forme de violence réduit l’autonomie de la victime et lui donne l’impression qu’elle se retrouverait sans ressource pour vivre si elle quittait son conjoint. Priver quelqu’un d’argent, de travail ou l’empêcher d’avoir accès à l’éducation, c’est de la violence économique.

  • Empêcher l’autre d’occuper un emploi ou d’étudier.
  • Contrôler les ressources financières et matérielles de l’autre (budget, obliger à rendre des comptes, saisir les revenus, les documents d’identité, etc.).
  • Forcer l’autre à s’endetter.

Milieu sécuritaire | Maison d'hébergement| Femme | Rive-Nord

SOS violence conjugale
Brisez le silence de votre souffrance en nous appelant

Où vous situez-vous par rapport au violentomètre ?

Voici un outil qui peut vous aider à vous situer et à reconnaître les signes de violence conjugale. Le violentomètre n’est qu’une simulation : si vous pensez vivre de la violence, contactez-nous. Pour utiliser l'outil, faites glisser l'onglet illustrant des flèches de gauche à droite.

Ça va bien
! Respecte tes décisions, tes désirs et tes goûts

!

Ça va bien

Respecte tes décisions, tes désirs et tes goûts

!

Ça va bien

Met ses besoins et les tiens sur le même pied d’égalité

!

Ça va bien

Accepte tes amies, amis et ta famille

!

Ça va bien

A confiance en toi

!

Ça va bien

Est content quand tu te sens épanouie

!

Ça va bien

S’assure de ton accord pour ce que vous faites ensemble

!!

Demande de l’aide

T’ignore des jours quand il est en colère, fait peser de lourds silences

!!

Demande de l’aide

Te fait du chantage si tu refuses de faire quelque chose

!!

Demande de l’aide

Rabaisse tes opinions et tes projet

!!

Demande de l’aide

Se moque de toi en public

!!

Demande de l’aide

Est jaloux et possessif

!!

Demande de l’aide

Te manipule

!!

Demande de l’aide

Contrôle tes sorties, habits, maquillage

!!

Demande de l’aide

Fouille tes textos, courriels, applis

!!

Demande de l’aide

Insiste pour que tu lui envoies des photos intimes

!!

Demande de l’aide

T’isole de ta famille et de tes proches

!!!

Tu es en danger, appelle le 911 si tu te sens menacée

T’humilie et te traite de folle quand tu lui fais des reproches

!!!

Tu es en danger, appelle le 911 si tu te sens menacée

« Pète les plombs » lorsque quelque chose lui déplaît

!!!

Tu es en danger, appelle le 911 si tu te sens menacée

Menace de se suicider à cause de toi

!!!

Tu es en danger, appelle le 911 si tu te sens menacée

Te fait peur

!!!

Tu es en danger, appelle le 911 si tu te sens menacée

Menace de diffuser des photos intimes de toi

!!!

Tu es en danger, appelle le 911 si tu te sens menacée

Te pousse, te tire, te gifle, te secoue, te frappe

!!!

Tu es en danger, appelle le 911 si tu te sens menacée

Te touche les parties intimes sans ton consentement

!!!

Tu es en danger, appelle le 911 si tu te sens menacée

T’oblige à avoir des relations sexuelles ou à regarder de la porno

!!!

Tu es en danger, appelle le 911 si tu te sens menacée

Te menace

Besoin d’hébergement

Le cycle de violence conjugale

La violence conjugale est un cercle vicieux de domination de l’agresseur sur sa victime. C’est un processus déstabilisant, car il est ponctué de périodes d’accalmie et d’espoir.

Cycle | Violence conjugale | Tension | Peur | Femme

La tension

Il y a de lourds silences, des menaces et, parfois, de l’intimidation. Je me sens « insécure », je marche sur des œufs, je paralyse. J’ai peur de le provoquer.

+
Violence conjugale | Cycle | Agression physique | Aide

L’agression

Il « pète les plombs ». J’ai peur, puis je me sens humiliée et en colère. J’ai honte, je suis gênée.

+
Justification | Manipulation | Violence physique | Femme

La justification

Il trouve des excuses, des explications, me dit que je l’ai provoqué. Je me sens responsable, je doute de moi et je justifie son agression.

+
Réconciliation | Honte | Doute | Violence verbale | Femme

La réconciliation

Il cherche mon pardon, parle de thérapie, exprime des remords, puis devient affectueux. Je vois ses efforts, je crois qu’il peut changer et je lui donne une chance.

+
Impacts | Violence conjugale | Enfant | Femme | Aide

Quels sont les impacts de la violence conjugale ?

Peu importe la nature des agressions vécues par une personne, la violence conjugale a toujours des conséquences et doit être prise au sérieux.

Les femmes qui en sont victimes peuvent passer par plusieurs sentiments, dont la honte, la peur, l’espoir et la colère. Elles se sentent souvent responsables de la violence subie, même s’il n’en est rien : la seule personne responsable de cette violence est l’agresseur.

Puisque la violence conjugale est progressive et subtile, la plupart des femmes qui la vivent ne s’en rendent pas compte immédiatement. Au fil du temps, elles se sentent de plus en plus isolées et démunies financièrement et émotionnellement. La violence a également un impact direct sur l’estime de soi et sur le niveau d’énergie. Que ce soit de manière consciente ou inconsciente, les femmes doivent souvent mettre en place une panoplie de stratégies pour se protéger et protéger leurs enfants. Ces moyens sont des tentatives d’éviter les crises de violence. Marcher sur des œufs et tenter de prévoir chaque comportement violent demande beaucoup d’énergie et devient épuisant. Lorsque la personne victime de violence émet des remarques sur ce qu’elle vit, elle est souvent ridiculisée ou accusée d’exagérer ou de mentir par son agresseur, ce qui finit par la faire douter d’elle-même. Le processus de la violence conjugale est déstabilisant, car il est ponctué de périodes d’accalmies et d’espoir, à la manière de montagnes russes.

Même s’ils ne la voient ou ne la subissent pas directement, les enfants subissent les contrecoups de la violence.

Conséquences sur les femmes

Sur le plan physique

  • Épuisement et insomnie
  • Troubles alimentaires
  • Perte de cheveux
  • Problèmes digestifs
  • Asthme
  • Baisse du système immunitaire
  • Maux de tête et de dos
  • Fausses couches

Sur les plans psychologique et émotif

  • Diminution de l’estime de soi
  • Peur, angoisse, anxiété, insécurité
  • Hypervigilance
  • Culpabilité
  • Sentiments de honte, de colère ou de tristesse
  • Ambivalence
  • Dépression
  • Consommation de drogues et d’alcool
  • Pensées suicidaires ou tentatives de suicide

Sur le plan social

  • Appauvrissement ou endettement
  • Isolement
  • Perte d’emploi
  • Baisse de liberté
  • Instabilité
  • Baisse de l’affirmation de soi
  • Déménagements fréquents

Conséquences sur les enfants

Sur le plan physique

  • Naissance prématurée
  • Retards de croissance et de développement
  • Douleurs chroniques
  • Blessures
  • Troubles du sommeil
  • Troubles de l’alimentation
  • Pipis au lit
  • Tics nerveux

Sur les plans psychologique et émotif

  • Colère, honte ou culpabilité
  • Incapacité à s’exprimer
  • Angoisses, peurs ou anxiété
  • Insécurité
  • Faible estime de soi
  • Faible capacité de concentration
  • Ambivalence, conflit de loyauté ou confusion face aux sentiments envers ses parents
  • Hypervigilance

Sur le plan social et comportemental

  • Agressivité
  • Repli sur soi et isolement
  • Risque accru d’être impliqué dans une relation de violence à l’âge adulte
  • Difficultés ou décrochage scolaires
  • Délinquance ou indiscipline
  • Crises de colère ou impulsivité
  • Risques accrus de consommer des drogues ou de l’alcool à outrance
  • Gestion difficile des émotions et des comportements

Sur le plan physique

  • Épuisement et insomnie
  • Troubles alimentaires
  • Perte de cheveux
  • Problèmes digestifs
  • Asthme
  • Baisse du système immunitaire
  • Maux de tête et de dos
  • Fausses couches

Sur les plans psychologique et émotif

  • Diminution de l’estime de soi
  • Peur, angoisse, anxiété, insécurité
  • Hypervigilance
  • Culpabilité
  • Sentiments de honte, de colère ou de tristesse
  • Ambivalence
  • Dépression
  • Consommation de drogues et d’alcool
  • Pensées suicidaires ou tentatives de suicide

Sur le plan social

  • Appauvrissement ou endettement
  • Isolement
  • Perte d’emploi
  • Baisse de liberté
  • Instabilité
  • Baisse de l’affirmation de soi
  • Déménagements fréquents

Sur le plan physique

  • Naissance prématurée
  • Retards de croissance et de développement
  • Douleurs chroniques
  • Blessures
  • Troubles du sommeil
  • Troubles de l’alimentation
  • Pipis au lit
  • Tics nerveux

Sur les plans psychologique et émotif

  • Colère, honte ou culpabilité
  • Incapacité à s’exprimer
  • Angoisses, peurs ou anxiété
  • Insécurité
  • Faible estime de soi
  • Faible capacité de concentration
  • Ambivalence, conflit de loyauté ou confusion face aux sentiments envers ses parents
  • Hypervigilance

Sur le plan social et comportemental

  • Agressivité
  • Repli sur soi et isolement
  • Risque accru d’être impliqué dans une relation de violence à l’âge adulte
  • Difficultés ou décrochage scolaires
  • Délinquance ou indiscipline
  • Crises de colère ou impulsivité
  • Risques accrus de consommer des drogues ou de l’alcool à outrance
  • Gestion difficile des émotions et des comportements

Je vis de la violence.

Ma sécurité est menacée.

Je passe à l’action.

Je me protège, je protège mes enfants.

Les premiers pas vers l’hébergement

Vous êtes prête à assurer votre sécurité et votre mieux-être ? Bienvenue à la Citad’Elle.

En savoir plus
Démarche | Service d'hébergement | Violence conjugale
Arrêter la violence conjugale | Aide professionnelle

Elles s’en sont sorties…

Voici des témoignages de femmes qui sont passées par la Citad’Elle en bénéficiant des services externes ou de l’hébergement.

Comment s’en sortir

Vous désirez faire une différence auprès d’une personne qui vous est chère ?

Comment intervenir
Groupe d'aide | Femme | Centre | Hébergement | Violence

Mythes ou réalité ?

Certaines fausses croyances au sujet de la violence conjugale sont populaires et tenaces. Ces stéréotypes contribuent à rendre la violence taboue et sont néfastes. Voici quelques mythes et réalités à éclaircir. Contactez-nous si ceci suscite des questionnements au sujet de votre relation.

Comment intervenir

La violence dans un couple est due à une perte de contrôle.

C’est un mythe.

Au contraire, la violence est issue d’une PRISE de contrôle d’un partenaire sur l’autre.

La jalousie est une preuve d’amour.

C’est un mythe.

La jalousie est souvent utilisée pour excuser la violence. Or, interdire à sa conjointe de fréquenter les personnes de son choix, critiquer sa manière de s’habiller, épier ses allées et venues, la harceler de messages et d’appels, c’est de la violence psychologique.

Quoi qu’une personne fasse ou dise, elle n’est jamais responsable de la violence de l’autre personne.

C’est un fait.

Un agresseur qualifie de « provocations » les comportements de sa victime qui lui servent de prétexte. La violence est toujours un choix et n’est jamais acceptable.