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Voici quelques conseils pour venir en aide à une femme qui en est victime
Que vous soyez proche d’une victime de violence conjugale ou d’une personne qui en génère, votre rôle est crucial. La violence se passe surtout à l’abri des regards : ce que vous constatez n’est probablement que la pointe de l’iceberg. Parlez de votre impression à cette personne, offrez-lui une écoute attentive et référez-la à la Citad’Elle de Lachute ou à SOS violence conjugale.
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La Citad’Elle de Lachute est un organisme qui vient aux femmes victimes de violence conjugale et à leurs enfants par des services adaptés aux besoins de chacune dans un environnement sécuritaire et paisible.
Notre maisonLa réalité de la violence conjugale
La violence conjugale ne fait pas de discrimination : peu importe l’âge, l’éducation, la situation sociale, l’orientation sexuelle ou l’origine d’une personne, la violence conjugale peut toucher n’importe qui.
Mythes ou réalité ?
Certaines fausses croyances au sujet de la violence conjugale sont populaires et tenaces. Ces stéréotypes contribuent à rendre la violence taboue et sont néfastes. Voici quelques mythes et réalités à éclaircir. Contactez-nous si ceci suscite des questionnements au sujet de votre relation.
Comment intervenirL'alcool est une cause de violence conjugale.
C’est un mythe.
L’alcool désinhibe et change les perceptions, ce qui en fait un facteur de risque de la violence. Or, l’alcool n’est ni une raison ni une excuse : la consommation n’est ni nécessaire ni suffisante pour qu’une agression se produise.
La séparation est le moment le plus dangereux pour une victime de violence conjugale.
C’est un fait.
La violence conjugale augmente en fréquence et en gravité lors de la séparation. Cette escalade est imprévisible et peut mener à de la violence physique et au meurtre.
La violence peut se poursuivre lorsque l’on met fin à la relation.
C’est un fait.
Près de la moitié des victimes de violence conjugale se sont séparées de leur agresseur. La violence postséparation peut se manifester par du harcèlement et la persistance des violences psychologiques, sexuelles, économiques, verbales et physiques.